7500 bacheliers attendent encore une place à l’université

A un mois de la rentrée, 7 500 bacheliers, bien qu’inscrits sur le logiciel d’orientation Admission post-bac (APB), n’ont toujours reçu aucune proposition de place à l’université.

« Chaque cas individuel sera traité », a assuré Thierry Mandon, secrétaire d’Etat chargé de l’enseignement supérieur, dans Les Echos du 5 août, en précisant : « C’est un problème qui existe depuis deux ou trois ans » et qui « tend à se développer. »

Son entourage relativise: « Cela n’a rien d’extraordinaire, dit-on. Tous les ans, une fois les trois tours d’APB passés, il reste des jeunes qui n’ont pas obtenu satisfaction sur leurs vœux. C’est pour cela qu’une quatrième phase est prévue : la procédure complémentaire. Ouverte jusqu’au 15 septembre, elle permettra, au fil de l’eau, de trouver une place à chacun. »

Thierry Mandon a, dans un premier temps, évoqué « entre 10 000 et 15 000 » cas. « Après vérification des services, précise l’un de ses conseillers, ils ne sont que 7 500 sur les 617 000 bacheliers. » Le nombre est également à relativiser du fait que les bacheliers sont toujours plus nombreux, et surtout toujours plus nombreux à choisir l’université : ils étaient 50 000 en plus en 2014 ; ils seront 30 000 supplémentaires cette année.

« Multitude de cas particuliers »

Bref, ça coince. C’est exactement ce que dénonçait l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), mi-juillet. Selon le syndicat étudiant, 54 universités sur 74 pratiquent une sélection qui ne dit pas son nom pour réguler le flux croissant des impétrants sortis du lycée. D’autres réduisent leurs capacités d’accueil et tirent au sort leurs étudiants.

Avec un point commun, cependant, précise le cabinet du secrétaire d’Etat : « Ceux qui restent, assure l’un de ses membres, sont souvent des bacheliers qui ont fait peu de choix, et très ciblés. Ils n’ont pas choisi au moins une filière non sélective dans leur académie, sinon ils auraient eu une proposition. Ce peut être le cas, par exemple, d’un jeune de province qui tient absolument à faire du droit à Panthéon-Assas. Or, on peut faire d’excellentes études de droit ailleurs qu’à Paris ! Mais ce n’est pas toujours facile à expliquer… »

Quoi qu’il en soit, tout le monde est d’accord, ministre compris : il faudra augmenter les moyens des universités.

Source: lemonde.fr

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