C’est le premier conseil donné par toutes les agences immobilières : rien de plus désagréable qu’une désillusion à la découverte du bien pour lequel on aurait déjà signé un bail.
Si la loi impose en théorie un kot de minimum de 12 m² pour une personne, il est permis d’en louer des plus petits si l’étudiant n’y est pas domicilié. Notons que certaines communes ont parfois tendance à fermer les yeux sur cette nécessité.
Ne précipitez-vous pas sur le premier bien venu par crainte de ne plus en avoir. L’offre rencontre largement la demande, de l’aveu de plusieurs agences louvanistes. Prenez le temps de comparer les biens, et surtout leurs prix. Certains propriétaires, peu scrupuleux, n’hésitent pas à surfer sur la crainte d’une pénurie pour gonfler leur tarif.
Vérifiez plutôt deux fois qu’une le contrat que vous signez pour éviter toute mauvaise surprise en fin d’année : les charges sont-elles forfaitaires ou provisionnelles ? Le contrat est-il d’une durée de 10 ou 12 mois ? Analysez ce qui est le plus avantageux dans votre cas. Louer un kot à moindre coût sans charges comprises peut vite se révéler être un piège, par exemple lorsque les charges sont réparties au prorata de la superficie occupée dans un immeuble. En général, le prix moyen de location d’un kot s’élève entre 300 et 400 euros.
Il est toujours plus facile de vivre en communauté avec des gens que l’on connaît. Les jeunes ont d’ailleurs plutôt tendance à se tourner vers des communautaires plus petits que par le passé : fini le temps de 16 étudiants dans la même cuisine.
Et si la cohabitation se passe mal ? Il est possible de trouver des solutions avec les locataires : par exemple si les circonstances le permettent, l’agence n’hésite pas à reloger un étudiant qui le désire. Si celui-ci souhaite quitter son kot de plein gré, il devra trouver quelqu’un pour reprendre son bail.
Avant de signer tout bail, prenez-le temps de bien lire le règlement d’ordre intérieur de l’immeuble. Par exemple, certaines agences nettoient les parties communes chaque semaine ou tous les quinze jours alors que d’autres ne le font pas, demandant aux locataires de s’arranger entre eux afin d’assurer les tâches ménagères.
Louer un kot ne signifie pas non plus faire tout et n’importe quoi : il vous faudra vous conformer au règlement de police de la commune en matière de fête, notamment. En cas de non-respect des prescriptions, elles n’hésitent pas à envoyer des rappels à l’ordre, jusqu’à les menacer d’expulsion ou de non-renouvellement de bail. Et mieux vaut aussi consulter vos contrats d’assurance afin de vérifier ce pour quoi vous êtes couvert, en cas de vol ou d’incendie par exemple.
Source: lesoir.be
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